Die Bienenzüchter, (vers 1568) par Pieter Brueghel l’Ancien.
Samuel Avril, L2 Lettres Modernes, écrit un poème pour se percevoir, et surtout pour choisir de tronquer les perceptions.
Ce sont ces cils, sur l’âtre rêvé
Samuel avril
Dans la fosse accourent les âges
D’un jeune élégiaque.
Séjours dans le drame incandescent ;
Épaulard, j’ai tronqué les essences.
Des cheveux noirs, poudre de pavot,
Sur une petite masse affadée.
De long coursiers d’îles assombries :
Ce sont ces cils, sur l’âtre rêvé.
Ces globuleux damnés de caïman
Les abîmes ivres de coulures salines
Dans les trous d’un étrange titan
Des voyantes décalcomanient.
*
Faire comme mon visage
Interpréter les criques
Rester au rivage
Dans l’épaisseur d’un cirque
Un avis sur « Usurper sa face »